Les résultats de la recherche montrent que les femmes sont les plus susceptibles d’être victimes de harcèlement sexuel, tandis que d’autres populations vulnérables telles que la communauté LGBTQ2S courent également un risque accru d’être harcelées sur le lieu de travail et ailleurs.
Il est important de créer un environnement de travail sûr pour tous tout en accordant une attention particulière aux expériences des travailleurs qui pourraient être doublement défavorisés.
Par exemple, lorsque la victimisation est fondée sur l’identité ou l’expression de genre, elle chevauche souvent d’autres formes de marginalisation fondées sur la race, le handicap, l’âge, la condition sociale, la nationalité, le statut d’immigration, l’origine ethnique, le lieu d’origine, etc.
Ce projet reconnaît l’importance d’identifier une telle intersectionnalité et de traiter le harcèlement de manière holistique, collaborative et tenant compte des traumatismes.